shogun:
Je ne sais pas à qui tu t'adresses (si tenté tu d'adresses à quelqu'un de particulier
)
Je suis assez daccord avec toi sur l'ensemble mais ce n'ai pas non plus une raison de rouler à fond de cale dès qu'on enfourche nos montures (dépend de l'humeur , du tempérament de chacun et de l'environnement en somme) .
Il y une juste milieu entre l' hémiplégique et le l'apprenti Rossi tétraplégique en devenir.
Bonne route
et moi je suis d'accord avec toi sur le fait de ne pas péter plus haut que son c*l ... tout le monde, effectivement, n'a pas le talent d'un Rossi, et en plus il lui arrive lui aussi de se planter, sauf que lui a à sa dispo des chirurgiens auxquels nous ne pourrons jamais prétendre.
la vitesse en soi ne me branche pas trop, (140 grand max sur autobeurk, histoire de mettre "de l'air" entre les camions

et moi ). Par contre , ce qui me branche plus, ce so,nt les sensations liées à une bonne accèl ; une petite bourre en solo sur une départementale viroleuse avec un revêtement refait à neuf, c'est du bonheur en barre ; et s'il y a des cyclotouristes, je ralentis bien avant le dernier, je dépasse LENTEMENT en laissant de l'espace, et une fois dépassés, je réaccélère loin devant, afin (ça compte aussi!) de leur montrer qu'un motard n'est pas nécessairement un bourrin abruti de vitesse.

j'aime également travailler ma technique et des trajs propres, fluides.
cela dit il y a des jours , où "je le sens vraiment pas" (fatigue, entre autres, ) et où je me mue en "moto-comtemplatif", à 70 kmh et régimes moteur de tafiole, en économisant l'homme et le matériel. Voilou.
peace and love mes frères.
